
Des examens sur un suivi de 15 ans ont été réalisés sur près de 25 000 femmes peu fertiles. Il en ressort que le risque de lésions malignes de l’ovaire, cancers ou tumeurs limites, a doublé chez celles qui ont subi une stimulation ovarienne pour FIV par rapport aux femmes hypofertiles non traitées pour FIV. Le risque de développer un cancer ovarien, bien qu’il soit légèrement augmenté, est toutefois qualifié de non significatif.
Des études complémentaires vont être mises en place pour confirmer ces premiers résultats.
Le Quotidien du Médecin (Dr Béatrice Vuaille) 28/10/11