Le même jour au Maroc, la ministre du développement social et de la famille Nouzha Skalli a déclaré que la réforme pour une légalisation de l’avortement pour des "cas extrêmes" comme "le viol, l’inceste ou les malformations profondes du fœtus" faisait parti du programme gouvernemental. Actuellement, l’article 449 du code pénal marocain prévoit des peines de prison pour "l'avorteur et l’avortée ainsi que les personnes intermédiaires, sauf quand il s’agit de préserver la santé ou la vie de la mère".
Après les élections présidentielles en Argentine, deux projets de loi visant à élargir la légalisation de l’avortement seront étudiés début novembre 2011 par le Congrès. A l’heure actuelle, l’IVG est autorisée en cas de danger pour la santé de la mère, de viol et pour les femmes handicapées. Les deux propositions de loi voudraient légaliser l'avortement jusqu’à trois mois de grossesse mais aussi l'autoriser jusqu’au terme pour les exceptions précédemment citées. Mi-septembre 2011, les Eglises locales manifestaient leur inquiétude dans un communiqué : "Nous voulons dire ensemble que quand une mère est enceinte, il ne s’agit pas seulement de protéger une vie, mais deux, celle de la mère et celle de son fils ou sa fille en gestation. Les deux doivent être préservée et respectées"
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