- Suite au problème sanitaire lié aux prothèses mammaires PIP, la Direction générale de la Santé (DGS)
et l’Afssaps prônent un renforcement des inspections et des activités de vigilance, en augmentant le nombre d’inspecteurs et de contrôles inopinés aussi bien chez les fabricants d’implants mammaires que dans les centres de soins qui pratiquent cet acte chirurgical. Cette mesure majeure ressort d’un rapport présenté ce mercredi 1er février aux ministres chargés de la Santé, Xavier Bertrand et Nora Berra.
Les ministres pour leur part ont demandé à l’Afssaps d’établir notamment une liste, d’ici mars prochain, des « dispositifs médicaux implantables à risque ».
Le 24 janvier dernier, la Commission européenne avait déjà émis la possibilité de revoir la législation en ce qui concerne les implants mammaires. En revanche, elle a indiqué qu’elle ne souhaitait pas proposer « une autorisation préalable à la mise sur le marché pour les dispositifs médicaux », comme c’est actuellement le cas pour les médicaments.
Le ministère de la Santé rappelle qu’un numéro vert, le 0 800 636 636 (ouvert du lundi au samedi de 9h à 19h) est disponible « pour répondre à toutes les questions des femmes concernées ».
et l’Afssaps prônent un renforcement des inspections et des activités de vigilance, en augmentant le nombre d’inspecteurs et de contrôles inopinés aussi bien chez les fabricants d’implants mammaires que dans les centres de soins qui pratiquent cet acte chirurgical. Cette mesure majeure ressort d’un rapport présenté ce mercredi 1er février aux ministres chargés de la Santé, Xavier Bertrand et Nora Berra.
Les ministres pour leur part ont demandé à l’Afssaps d’établir notamment une liste, d’ici mars prochain, des « dispositifs médicaux implantables à risque ».
Le 24 janvier dernier, la Commission européenne avait déjà émis la possibilité de revoir la législation en ce qui concerne les implants mammaires. En revanche, elle a indiqué qu’elle ne souhaitait pas proposer « une autorisation préalable à la mise sur le marché pour les dispositifs médicaux », comme c’est actuellement le cas pour les médicaments.
Le ministère de la Santé rappelle qu’un numéro vert, le 0 800 636 636 (ouvert du lundi au samedi de 9h à 19h) est disponible « pour répondre à toutes les questions des femmes concernées ».