mardi 26 juin 2012

Un bébé né avec six coeurs


Un bébé né avec six coeurs distincts a survécu malgré un bilan très négatif de la part de ses médecins.
L’anomalie avait été découverte pendant la grossesse de Michelle Lewis, une jeune Britannique de 32 ans qui réside à Kent au Royaume-Uni


Alors qu’elle était à sa 21e semaine de grossesse, ses médecins lui ont conseillé d’avorter en constatant que le foetus disposait de six coeurs bien distincts. Selon les spécalistes, l’enfant n’avait aucune chance de survivre. Mais les parents de Riley ont refusé catégoriquement de mettre un terme à cette grossesse. « Les médecins ont finalement accepté de me suivre de près jusqu’à la fin de ma grossesse », confie Michelle au Daily Mail. »C’était terrifiant. Je pensais toujours que le pire allait arriver ».
Mais le jour de Noël 2010, le cadeau est arrivé. Riley est né après un accouchement très difficile au cours duquel il a failli perdre la vie à de nombreuses reprises. « Le travail a duré 15 heures terrifiantes. Les médecins ont finalement décidé de procéder à une césarienne d’urgence », dit-elle. « Riley n’avait que huit heures lorsqu’il a subi sa première opération du coeur ». Une opération qui consistait à lui introduire une sorte de petit ballon destiné à pomper le sang dans ses artères. Cinq jours plus tard, il devait à nouveau être opéré.
Mais les difficultés étaient loin d’être terminées pour Riley. Alors qu’il n’avait que quatre mois, le nourrisson a failli perdre la vie après une anesthésie pour une IRM. Son rythme cardiaque s’était fortement acceléré et le bébé s’en était sorti de justesse. Après cinq mois d’hospitalisation, Riley décrit comme un battant par ses parents, était enfin rentré chez lui. En pleine forme, il avait même pu assister au mariage de ses parents.
Pour les médecins, il s’agit là d’un véritable miracle. Selon eux, ils n’avaient jamais vu un tel cas auparavant. Bien qu’il ait dû être opéré à trois reprises au cours des douze derniers mois et qu’il devra encore subir d’autres opérations dans un avenir proche, Riley se porte comme un charme. Pour les médecins, le garçonnet pourra même vivre une vie normale.

jeudi 14 juin 2012

Glaucome : un nouveau traitement restaure la vision chez des rats




Pour la première fois, le glaucomepathologie fréquente de la vision, a été traité avec succès par un médicament qui résout le problème à la source. La molécule inhibe l’action d’une chimiokine responsable de l’obstruction du trabéculum, l’origine de la maladie. Explications.
Dans un article paru dans Plos One, des chercheurs de l’Inserm ont réussi à préserver la fonction visuelle de rats atteints de glaucome. Cette maladie, associée à une élévation anormale de la pression à l’intérieur de l’œil, peut conduire à la cécité. L’équipe de chercheurs dirigée par Christophe Baudouin au sein de l’Institut de la vision (Inserm/CNRS/UPMC) a ciblé des molécules spécifiques de l’inflammation : les chimiokines.
Le blocage d’un des récepteurs aux chimiokines (CXCR3) a entraîné une diminution de la pression à l’intérieur de l’œil, grâce à la restauration de l’écoulement normal de l’humeur aqueuse, conduisant à une protection de larétine et de la fonction visuelle.
Soigner le glaucome en faisant retomber la pression
Deuxième cause de cécité dans le monde, le glaucome touche 50 à 60 millions de personnes dont 6 à 7 millions sont aveugles. En France, environ 800.000 personnes sont traitées pour un glaucome. Cette maladie se caractérise par une destruction progressive du nerf optique et une altération irréversible de la fonction visuelle, généralement associée à une élévation anormale de la pression à l’intérieur de l’œil.
Cette forte pression intraoculaire est causée par une résistance à l’écoulement normal de l’humeur aqueuse au niveau d’une structure oculairespécifique : le trabéculum. Toutefois, la dégénérescence des tissus du trabéculum, à l’origine de ce dysfonctionnement, est mal comprise.
Les traitements actuels contre le glaucome ne ciblent pas directement la trabéculopathie originelle. Ceci pourrait en partie expliquer l’échec thérapeutique souvent observé et conduisant parfois à la cécité en dépit d’une prise en charge médicale optimale.
Alexandre Denoyer, l'un des auteurs de cette étude, retrace dans cette vidéo les points forts de cette découverte d'un nouveau traitement contre le glaucome. © Inserm
La chimiokine CXCL12 réduite au silence
L’équipe de chercheurs dirigée par Christophe Baudouin à l’Institut de la vision est impliquée dans l’étude des mécanismes physiopathologiques responsables de la trabéculopathie glaucomateuse, et plus spécifiquement du rôle de certaines molécules de l’inflammation appelées chimiokines.
Plusieurs chercheurs de cette équipe viennent de montrer sur des tissus de patients glaucomateux et sur une lignée cellulaire humaine de trabéculum, l’existence d’une balance entre la chimiokine dite CXCL12, et une forme tronquée de celle-ci, le SDF-1(5-67). Tandis que la première favorise la viabilité des tissus du trabéculum via le récepteur CXCR4, l’autre forme induit la mort trabéculaire via le récepteur CXCR3. Il semble que le passage d’une forme saine à la forme tronquée soit favorisé par un environnement particulier et des cytokines et métalloprotéinases impliquées dans le glaucome.
Dans un deuxième temps, les chercheurs ont observé dans un modèle animal de glaucome que le blocage de CXCR3 permet de diminuer la pression intraoculaire, de restaurer la fonction de filtration du trabéculum et de préserver ainsi la fonction visuelle en protégeant la rétine.
Ces travaux permettent d’améliorer la compréhension du glaucome. Pour Alexandre Denoyer, premier auteur de cette publication, « la stratégie inédite utilisée ciblant les chimiokines au niveau du trabéculum pourrait aboutir au développement d’un traitement innovant en remplacement ou en complément des traitements à long terme par les collyres actuels ».

mardi 5 juin 2012

Foreign exchange market


Forex" redirects here. For the football club, see FC Forex Braşov.
The foreign exchange market (forex, FX, or currency market) is a form of exchange for the global decentralized trading of international currencies. Financial centers around the world function as anchors of trading between a wide range of different types of buyers and sellers around the clock, with the exception of weekends. The foreign exchange market determines the relative values of different currencies.[1]
The foreign exchange market assists international trade and investment by enabling currency conversion. For example, it permits a business in theUnited States to import goods from the European Union member states especially Eurozone members and pay Euros, even though its income is inUnited States dollars. It also supports direct speculation in the value of currencies, and the carry trade, speculation based on the interest rate differential between two currencies.[2]
In a typical foreign exchange transaction, a party purchases a quantity of one currency by paying a quantity of another currency. The modern foreign exchange market began forming during the 1970s after three decades of government restrictions on foreign exchange transactions (the Bretton Woods system of monetary management established the rules for commercial and financial relations among the world's major industrial states after World War II), when countries gradually switched to floating exchange rates from the previous exchange rate regime, which remained fixed as per the Bretton Woods system.
The foreign exchange market is unique because of
             its huge trading volume representing the largest asset class in the world leading to high liquidity;
             its geographical dispersion;
             its continuous operation: 24 hours a day except weekends, i.e. trading from 20:15 GMT on Sunday until 22:00 GMT Friday;
             the variety of factors that affect exchange rates;
             the low margins of relative profit compared with other markets of fixed income; and
             the use of leverage to enhance profit and loss margins and with respect to account size.
As such, it has been referred to as the market closest to the ideal of perfect competition, notwithstanding currency intervention by central banks. According to the Bank for International Settlements,[3] as of April 2010, average daily turnover in global foreign exchange markets is estimated at $3.98 trillion, a growth of approximately 20% over the $3.21 trillion daily volume as of April 2007. Some firms specializing on foreign exchange market had put the average daily turnover in excess of US$4 trillion.[4]
The $3.98 trillion break-down is as follows:
             $1.490 trillion in spot transactions
             $475 billion in outright forwards
             $1.765 trillion in foreign exchange swaps
             $43 billion currency swaps
             $207 billion in options and other products